Il y a quelque temps, je lisais un livre pour enfants.
Je le lisais, oui, mais pour sa revue orthotypographique, cependant, cela ne m’a pas empêchée de me plonger dedans.
Catherine Pelard a écrit « Le poney blanc »
Ce petit texte est à ma seule initiative ; j’ai envie de rendre hommage aux auteurs qui m’ont fait travailler, progresser, et qui, surtout, m’ont émue.
Alors voici une petite mise en bouche de cette histoire pour enfants, que j’ai pris plaisir à revoir au titre de la correction classique, mais en ajoutant mon petit plus qui est de suggérer des modifications émises dans l’idée de clarifier ou de souligner tel ou tel point.
📘 »Tom, onze ans, et sa famille viennent passer des vacances chez mamie Marie qui habite dans un village de Bretagne, non loin de la forêt de Brocéliande. Mamie Fofolle, comme les enfants aiment à l’appeler, est super cool. Elle recueille toutes sortes d’animaux blessés… »📘
Catherine a toujours accueilli mes remarques avec bienveillance et gratitude. J’ai beaucoup apprécié cet état d’esprit, car intervenir sur l’écrit d’une autrice, qui plus est, n’est pas une débutante, est comme marcher sur des œufs, car le récit n’est pas arrivé tout seul en l’état, l’auteur a beaucoup travaillé dessus, et il faut faire montre d’humilité dans sa démarche.
Travailler avec un auteur aussi frais, aussi agréable et ouvert, est un réel plaisir. Quand, en prime, on est face à une histoire pour des enfants d’environ 8 ans – à qui on voudrait donner le plaisir de la lire et l’envie d’en dévorer encore d’autres –, remarquablement écrite, avec les mots adéquats et le petit grain de folie qui pétille, on apprécie d’autant plus le travail.
Alors si vous cherchez, pour emporter en vacances, un petit roman qui s’adressera à votre enfant dans sa vision du monde proche, des animaux et des sentiments, procurez-vous « Le poney blanc » (pour commencer…).